Les turpitudes d'un poète unipolaire

Sourire

Sourire

Les larmes coulent de ses yeux pétillants
Le regard vide tout en se rappelant
Son visage se mouille et sèche au vent
L'esprit troublé la mémoire hésitante

Dans ses souvenirs et ses rêves d'enfant
Les plus beaux sourires fleurissent au printemps
Quand la nature s'éveille lentement
Que les hirondelles nous regardent en dansant
Une vie riche et pleine d'événements
Dure gaie troublante mais toujours haletante
Elle s'est relevée des ses tristes instants
Pas une plainte tout en acceptant
Pour mieux combattre en se redressant
Aimée aimante elle voudrait partir maintenant
Le cœur léger et riant en guise de révérence
Son héritage est grand de ses expériences
De son amour de la vie passionnément
Alors nos larmes couleront de nos yeux pétillants
Le regard vide tout en se rappelant
De cette femme aux histoires passionnantes
De son amour de la vie en chantant

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