Les turpitudes d'un poète unipolaire

Renouveau

Renouveau

Quand la lune se meurt
Tout au bout de la nuit
Les étoiles pleurent
jusqu'à l'infini

Dans le ciel qui frissonne
D'un matin jaillissant
Seul le calme résonne
Pour un court instant

Et la vie qui s'éveille
Dans un moment de promesses
Nous montre ses merveilles
D'une nature en tendresse

Instant éphémère
Appelé à disparaitre
Dans un cycle mystère
Qui viendra à renaitre

Ainsi le jour s'achève
Se mettant en jachère
Laissant place aux rêves
Tamisant la lumière

 

unipolaire maladie poème nuit tangente

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