Les turpitudes d'un poète unipolaire

Printemps

Printemps

Je suis venu t'arracher à ton hiver sans neige
Juste histoire que ton fardeau s'allège
Nous partons vers un printemps qui rit
Je veux revoir tes yeux quand ils me sourient

Nous redécouvrirons la vie et ses manèges
La vie et ses cortèges et tous ses florilèges
Je veux sentir ton cœur qui palpite
Quand d'un coup le soleil t'enivre
Sous un ciel d'azur qui nous protège
Assis à l'ombre d'un vieux chêne
Ou avec la lune qui nous invite
Avec la brise et sa musique
Que ta bouche s'en souvienne
J'ai posé mes lèvres sur les tiennes
La vie est une pépite
Qu'il faut savoir cueillir
Et toi tu es la fleur
Qui fait battre mon cœur
Ma rosée du matin
Quand le temps est chagrin

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