Les turpitudes d'un poète unipolaire

Paraît qu'tout a un sens

Parait que tout a un sens

Paraît que comme une évidence
Tout s'explique tout a un sens
La douleur qui vous tance
L'angoisse et sa danse

Les remèdes que l'on n'ose
Sur les mots qu'on pose
Quand les maux s'imposent
Avant qu'le cœur implose

Notre image dans le miroir
Que l'on ne veut plus voir
Synonyme de désespoir
Qui nous plonge dans le noir

Les plaies les cicatrices
En souvenir des supplices
Les falaises les précipices
En rappel du j'dévisse

Ouais paraît que tout s'explique
Les images aux allures de suppliques
Qui vous hantent toutes les nuits
Qui vous plongent dans le puits

Ouais paraît qu'tout a un sens
Moi j'attends que l'soleil danse
Sur ma parcelle aux allures rances
Qu'il ne brille plus par son absence


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Image par Çiğdem Onur de Pixabay

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